RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO
MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET UNIVERSITAIRE
INSTITUT FACULTAIRE DES ASSEMBLÉES DE DIEU
DU CONGO
L’APPROCHE THÉOLOGIQUE SUR
L’INTERRUPTION
VOLONTAIRE DE LA
GROSSESSE
Cas des jeunes
filles et femmes de Bandundu-Ville/R D Congo
PAR: NKETARE ALEKE ALEXIS
DIRECTEUR : ASS LUBAMBA-MWANAHUTA
TRAVAIL DE FIN D’ÉTUDE PRESSENTE ET SOUTENU EN
VU DE L’OBSTENTION DU GRADE
DE GRADUE EN THÉOLOGIE.
ANNÉE ACADÉMIQUE 2013-2014
DÉDICACE
Je dédie ce travail :
A ma chère épouse ESTHER-BHI-MULUDI NKETARE.
A mes chères filles et fils : HANGELOS-MPWO-NKETARE.
:
GADDIEL-MULUDI-NKETARE.
:
GOD-GIVE-ALEKE-NKETARE.
: SA MAJESTÉ-MODESTE-NKETARE.
: Et A PROVIDENCE-SIDO-NKETARE.
En appréciation pleine d’amour pour les multiples jours et
nuits solitaires qu’ils endurent avec joie quoi que dans la souffrance, se
privant de certains de leurs droits d’épouse et enfants pourvu que je puisse
étudier.
Je le dédie à ma sœur SIDONIE-MATELA et à son mari DEO-MATWO,
pour les encouragements et l’amour qu’ils me témoignent.
En fin à mes neveux, mes nièces, mes cousins, et mes cousines
tous en souvenir de notre famille qui doit beaucoup pour les études.
A Dieu le père de notre Seigneur Jésus Christ, qui m’avait
choisi digne d’être son ouvrier, et depuis la prescience pour être témoin de la
mort de Jésus Christ et de sa résurrection. « SOLA DEO GLORIA ».
AVANT
PROPOS
Toute ma gratitude à ceux qui m’ont aidé tant dans les trois
années de ma formation théologique tant à l’élaboration de ce travail de fin
d’étude.
A ma famille, pour des sacrifices qu’ils payaient
pour me permettre d’étudier.
A l’assistant LUBAMBA mon directeur du travail, pour le
temps qu’il consacrait à m’orienter et à la correction du travail, pour que nous puissions atterrir
à bon port.
Aux doyens de la
faculté, le corps
professoral pour l’encadrement qu’ils nous ont assuré.
Au Rév LOUIS MATANGILA
MALALA et tous les
compagnons de lutte dans la foi en Christ, du CEPe premièrement pour le service
missionnaire abattu ensemble, pour leurs soutiens spirituel et moral.
A l’inspecteur DIDIER
SEBEBIMI pour sa
participation morale, spirituel d’avoir accordé facilité à certaine chose pour
que nous arrivions au stade final.
Au Rév ALAIN NAZAYABWA pour son soutien tant matériel,
financier, que moral, ainsi qu’à toute la communauté chrétienne du CEPe ville
de Bandundu : Malebo, Lisala, et Lwani.
Nos remerciements également à toute une foule
d’amis et des connaissances, qui nous ont aidés directement ou indirectement, leurs
conseils étaient indispensables.
INTRODUCTION :
Depuis quelques années, ici dans la ville de Bandundu nous
assistons à des actes des tueries, comme l’intitule notre
travail<<L’interruption Volontaire de la Grossesse>>.
Devenu monnaie courante dans notre champ, les filles meurent
jour après jours, et les avortons sont jetés dans des poubelles, des ruisseaux,
et d’autre encore en fouillent derrière des maisons d’habitation…pour celles qui
meurent, l’autopsie ou les rumeurs racontent toujours que << mort survenu
pendant ou après un avortement>>.
Le plus souvent en cas d’une grossesse non désirable tant
chez la jeune fille que chez la femme mariée ; l’avortement est le moyen
le plus rapide que la personne absorbe pour sauver sa vie en éliminant une
autre.
1.
<<Un
rapport publié par une périodique des témoins de Jéhovah raconte que
quarante-deux millions d’avortements ont été pratiqué dans le monde en 2003>> ;
se font avorter, des femmes de confessions religieuses confondues c.à.d. que
les membres de nos Eglises, des femmes de toutes les races, de toutes les
nationalités et de toutes les âges.
Cependant, parmi les professionnels
de cette pratique des millions d’Ames des femmes et des fétus sont détruits et
meurent. D’autres infectées par les instruments non appropriés utiliser par les
tueurs.
Ainsi dans ce travail nous essayons
de faire voir à nos lecteurs que la vie est sacrée et il n ya que DIEU qui a la
décision sur la vie.
Nous conseillons de cesser cette pratique,
considérant les pertes en vies humaines, et les conséquences néfastes sur les
victimes des avortements ; mais aussi rappelons le jugement de Dieu sur
les rebelles en sa parole.
DÉFINITION DU
CONCEPT
<<L’approche Théologique sur
l’interruption volontaire de la vie>>par
vie, nous sous entendons : un être humain depuis l’état
embryonnaire jusqu’à la maturité>>.
Pour votre gouverne, DIEU symbolise la vie, disons Dieu est
égale la vie et c’est lui seul qui peut le retirer.
CHOIT ET INTERRET DU
SUJET
Nous avons observés trois ans durant, en notre qualité de
chercheur, nous
Avons entendu parler des avortements, des décès des filles et
des femmes qui ont avortées dans notre ville.
…………………………………………………………………………………………
1. Périodique : l’avortement les questions qu’il soulève,
juin2009pg3
Descendu sur place pour palper du doigt à Lwani par exemple
quand la justice était descendue pour se rendre compte de la situation.
Ceci étant, nous a poussé à consacré notre temps pour
expliquer et relever les conséquences de cette pratique.
OBJET DU SUJET
Comme toute investigation en sciences humaines vise à
l’amélioration des conditions de l’homme.
Nous fixons comme objectifs : 1. Épingler les causes de l’interruption
volontaire de la grossesse.
2.
Énumérer
les conséquences de l’interruption volontaire de la grossesse.
3.
Mettre à la disposition des professionnelles
de la santé un manuel spirituel adéquat qui soit pour eux un guide pour qu’ils
ne tombent pas aux pièges de la séduction de l’avortement afin de promouvoir la
vie.
MÉTHODE DU TRAVAIL
Dans le cadre de notre travail, nous avons adopté
l’historico-critique, c.à.d. l’observation des faits pendants près des trois
ans nous a aidés par la technique d’interview, d’éclairer notre sujet, le choit
est un fait que le sujet est exploité dans l’actualité, par l’observation
participante.
DÉLIMITATION DU
TRAVAIL
Le sujet que nous abordons
est d’une matière si abondante, qu’il
nous convient de la délimité dans le temps et dans l’espace.
Il a été observé dans une période de trois ans dans la ville
de Bandundu en RD Congo.
Par ailleurs la théologie est une forêt dense que personne ne
peut explorer avec succès dans quelques jours.
Nous, nous proposons de l’axer sur la notion de la vie dans
la théologie spirituelle Africaine et sur les questions d’éthique.
DIVISION DU TRAVAIL
Nous avons subdivisé notre travail en quatre chapitres plus
une conclusion.
Chap. 1. Généralité sur la ville de Bandundu
Chap. 2. Les vulnérables de l’IVG, les causes et les conséquences.
Chap. 3.Le commencement de la vie, l’avortement et les points
de vue religieux sur l’IVG.
Chap. 4.La notion de la vie dans la théologie spirituelle
Africaine.
Conclusion.
CHAP 1. GÉNÉRALITÉ SUR
LA VILLE DE BANDUNDU.
INTRODUCTION : Dans ce Chapitre qui traite la
généralité sur la ville de Bandundu, nous allons le développé en quatre phases,
il s’agit de la situation historique de la ville de Bandundu, de la situation
géographique, de la situation économique et de la situation sociale de la
ville.
CHAP 1.1 SITUATION
HISTORIQUE
Pierre Mapwanga décéder ancien député national de la République
Démocratique du Congo ex Zaïre, lors
d’un interview à 2005 sur l’origine du peuple Yansi :<<venu de l’ile
d’eyey du Soudan, ils émigrèrent de là à la République Centre Africaine, de là
au Cameroun, du Cameroun au Gabon, du Gabon à la République du Congo Brazzaville,
du Congo Brazzaville ils vont en Angola et de l’Angola à la République
Démocratique du Congo dont ils longèrent la rivière Kwango jusqu’au carrefour
des rivières Kwilu, Kwango, et Kasaï d’ici ils s’ installèrent à la rive droite
de la rivière Kwilu quand vous êtes en aval de la rivière et appela le lieu
<<Bal-Ndone>> qui se
traduit aujourd’hui Bandundu.2
…………………………………………………………………………………………………………..2
Pierre Mapwanga, l’origine de peuple yansi, interview 2005, âgé de 60
ans.
En ce qui concerne l’appellation Bandundu, il semble qu’il
résulte d’une mauvaise intonation ou mauvaise audition du vocable <Mandunu>, nom propre de la femme qui
gouvernait le village<Chef du village> que le premier européen arriver
sur le lieu en 1887, voulant connaitre le nom du village, écrivit Bandundu en
lieu et place de Mandunu.
Confronter à la guerre tribale contre les peuples Boma d’une
part et Sakata de l’autre, ils reprirent chemin et longèrent les trois rivières
Kwango, Kwilu, et Kasaï et s’y installèrent
jusqu’à ce jours.
L’administration coloniale construit la cité Européenne au
tour du port fluvial, peu de temps après une cité indigène est érigé au sud du
noyau initial.
Mais la ville est abandonnée par l’administration suite à une
épidémie de la maladie du sommeil due à la mouche Tsé –Tsé. Au lendemain de
l’indépendance, Bandundu n’était qu’un grand village des pécheurs dont la
population ne dépassait guerre 15000 habitants.
En 1971 la ville de Bandundu devient le chef-lieu de la
province qui porte son nom et connait une croissance spectaculaire.
En terme d’industrie, elle compte une société brassicole, une
autre industrie des huileries à Dima et traite également le caoutchouc.
En termes de la population, elle
est de plus au moins sept cent et un mille deux cent et neuf habitants
<701.239>3
En 1965 s’ouvre le centre d’études ethnologique de Bandundu
<<CEEBA>> frensh center for ethnologique studies at Bandundu. Quant
à sa composition, la ville est composée de trois communes subdivisées en
vingt-deux quartiers.
…………………………………………………………………………………………………………..3.
Mosengo, question sur le statistique des habitants de la ville de Bandundu, âgé
de 50 ansmars2014 chargé de statistique mairie de la ville.
Il s’agit de : Basoko, Disasi, et Mayoyo.
COMMUNE DE BASOKO : est une commune de la ville abritant
le port et les institutions de la province de Bandundu, ses quartiers
sont : Air-Congo, Buza, Ifuru, Lumbu, Mfusi, et Salongo.
COMMUNE DE DISASI : est une commune comme seule de
Basoko longe la rivière Kwilu, ses quartiers sont : Ibole, Kamangola,
Kwango, Lwani, Mampuya, Mobutu, Molende, N’sele et Salaminta.
COMMUNE DE MAYOYO : elle est la commune la plus vaste de
la ville de Bandundu, ses quartiers sont : Bosembo, Ito, kimvuka, Malebo,
Maza, Musaka, et Ngamilele.
CHAP 1.2. SITUATION GÉOGRAPHIQUE :
Bandundu est une ville portuaire de la République
Démocratique du Congo, située au croisement des rivières Kwilu, Kwango, et Kasaï,
bâtie sur la rive droite du Kwilu, a environ 10 km en amont du confluent de
celui-ci avec la rivière Kasaï dans une zone de la savane boisée, à quelque pas
de la forêt équatoriale, Bandundu anciennement Baningville est l’une des plus
jeunes des capitales provinciales de la R D Congo.
Bandundu est à la fois le nom de la province administrative
et de son chef-lieu depuis 1971,
aujourd’hui la ville à une superficie de 222 km2 avec ses 701.239 habitants.
L’unique activité de la ville s’article au tour de son port,
un trafic assez intense anime, là se croisent les navires qui montent vers
Kikwit et celles qui descendent vers Kinshasa.
Ils y font escale, car Bandundu est une région agricole de
première importance pour le ravitaillement de la capitale congolaise en
vivres : manioc, mais, banane plantain, huile de palme, arachide, en
viandes diversifiées en espèces et poissons etc...
La ville de Bandundu est géographiquement à 3°18 l’altitude
sud et 17°21 la longitude est, l’altitude est de 324 m.
La ville est un vaste plateau et les pentes supérieurs à 5%
sont rares, l’ensemble de la ville est très morcelée par des larges zones
marécageuses. On distingue à l’ouest un promontoire sur le quel est bâtie entre
les cotes d’une altitude de 300m à 324m, à l’est un point culminant à environ
337m la partie comprise entre les rivières Kwango et Kwilu divisée en
six<6>bassins versant d’importance inégale , moyenne de température
maxima journalière atteint 32°c en avril et mai, la moyenne des températures
minima journalière observée est de 19°c au mois de juillet l’humidité relative
proche de la saturation est très élevée de 98°c à 100°c ; pendant la
saison humide avec des hauteurs de 2 au mois d’avril .
La ville de Bandundu est distante de :
-432 km de la ville de Kikwit.
-200 Km de Kenge.
-400 Km de la Capital congolaise<Kinshasa>.
CHAP 1.3 SITUATION
ECONOMIQUE :
KAPAYA Mukufu Gaston<<L’économie est toujours liées à
la capacité d’exploitation, des productions et des demandes ; par rapport
à l’histoire de notre ville, sur les industries nous n’avons que la brassicole
qui ne plus opérationnelle, et l’entreprise de Dima.
Bandundu comme province étant un village agricole, la ville
la quelle est son chef-lieu vit du secteur agricole disons des cultures
des : arachides, manioc, ainsi que de la pèche et de l’élevage.
Il y a aussi l’exploitation forestière artisanale qui aide un
peu, avec des scieries parsemées au
travers de la ville.
Nous disons que 10% de la population peuvent être des
fonctionnaires de l’Etat, 10% encore de la population dans le petit commerce ou
débrouillardise, enfin 80% de la ville vivent de l’agriculture et la vie va bon
train avec ceux qui comprennent les principes du laboureur et ses enfants.
Les produits de la pèche artisanal sont à peine visible sur
le marché et ne peut suffire pour donner accès à tout le monde même les plus
pauvre.
Il fallait que le gouvernement adopte une nouvelle façon
d’exploitation, par exemple avec les partenaires, car Bandundu avec ses cours
d’eaux différentes est une nouvelle cite des pêcheries moderne, que l’on
pouvait créer des industries de conservations des poissons par froid, par
salaison, par boite et la conservation
boucané pour ainsi revendre sur place à des prix abordable a tout le monde>>.
CHAP 1.4 SITUATION
SOCIALE :
Etats de lieux, les touristes qui foulent le sol de Bandundu
ville pour la première fois sont frappés par deux faits :
1.
L’absence
du transport en commun.
2.
Le
grand nombre des vélos et motocycle en circulation comme moyen de transport en
commun.
La sécurité sociale ne lui est
assurée en cas de dommages corporels. Cela dit, je ne suis pas en train d’en
appeler à la suppression immédiate du moyen en vogue, j’en appelle plutôt à une
réflexion publique sur l’effort à consentir pour que les sept cent et un mille
deux cent trente-neuf 701.239 habitants de la ville bénéficient des moyens de
transport digne du millénaire.
Quant aux soins médicaux, la ville à
un hôpital général mal équipé, mais seconder par des centres médicaux et des
centre de santé publique parsemés dans la ville, disons ça va de ce côté.
Le coût de la vie alimentaire dans
plus de 80% des ménages varie entre 2$ à 10$ selon la capacité des uns comme
des autres pour s’approvisionner.
En soi Bandundu fait beau vivre, qu’a
l’homme de le rendre beaucoup plus attrayant.
…………………………………………………………………………………………………………..4.
KAPAYA Mukufu Gaston, production économique et niveau de vie des habitants,
le11.03.2014, lieu bureau de l’économie mairie de la ville.
CHAP 2 LES
VULNERABLES DE L’IVG, LES CAUSES ET LES CONSÉQUENCES DE L’IVG.
2.1.
INTRODUCTION :
‘1’ Maman Bhi Muludi pour la plus
part ce sont des jeunes allant de 14 ans à 25 ans, mais aussi des grandes
personnes mariés victime d’une grossesse non désirable, quant aux causes de
l’interruption volontaire de la grossesse, elles sont multiples telles que nous
les énumérons.
2.2. LES VULNÉRABLES DE L’IVG.
Comme démontrer déjà dans l’introduction, les vulnérables se
situe parmi les jeunes filles et même quelques familles responsables d’une
grossesse non désirable et voici les neuf raisons que nous citons : 1. Les
jeunes filles porteuses des grossesses
qui se sentent déranger.
2. Femmes de tout âge porteuses d’une
grossesse non désirée.
3. Jeune femme ou fille violée
porteuse d’une grossesse, qui fait suite au viole.
4. Toute femme porteuse d’une
grossesse présentant à l’échographie une male formation du fétu.
5. Toute femme porteuse d’une
grossesse à haut risque cas dystocies maternelles signalées.
6. Jeune garçon ayant en grosser une
fille ‘élève’ et n’étant pas prêt pour être père de famille, il décidera pour
faire avorter.
7. Enseignant ayant engrossé son élève
craignant d’être frappé par la loi, il optera pour un avortement.
8. Professeur ayant engrossé une étudiante
la laissant à son triste sort ; pour sauver ses études et son témoignage à
l’endroit de ses parents cèdera à l’avortement.
9. Une tentative familiale.
………………………………………………………………………………………………………………………………………………
5. Bhi-Muludi, les vulnérables et les causes de l’IVG,
37 ans. Le 20.02.2014 Bandundu/ville.
2.3 LES CAUSES DE L’IVG
Les causes de l’interruption
volontaire de de la grossesse sont multiples, nous allons citer que quatre.
1. Les Causes morales :la morale joue un grand rôle dans la formation d’une
personne, l’éducation de base doit être bien fonder afin de préparer l’enfant à
une bonne moralité, d’abord en famille, à l’école, dans des salles des jeux, et
d’autres milieux sociaux que l’enfant fréquente, il doit t’être de bonne morale
sans quoi, l’enfant va copier l’éducation diffuse par des mauvais compagnons
dit on :<<une seule orange pourrie entraîne tout un bassin à la
pourriture>>.et va adopter sans discernement tout ce qui est diffuser à
la télévision.
Prenons
l’exemple d’une fille issue d’une famille bien éduquée qui va habiter chez une
tante maternelle ou paternelle d’une mauvaise vie, celle-ci pourra influencer
la vie de la fille, qui finira un jour par agir comme sa tante.
Les
amitiés avec des jeunes filles mal réputées peuvent influencer la vie de la
fille et voici quelques éléments qui influencent l’éducation diffusée : La
rue, la télévision, le cinéma et les films enfants non admis.
Or on
ne peut pas parler de IVG sans parler d’une précédente qui est la grossesse,
or la grossesse est une conséquence de l’immoralité sexuelle, ainsi tout parent
devait veiller à la morale de ses enfants.
2. Les causes Sociales : C’est ici ou il y a trop de
problèmes, c’est comme un adage qui dit :<< quand la pauvreté de
l’homme frappe à la porte, l’amour de la femme sort par la fenêtre>> si
l’amour de la femme sort pour se libérer de l’homme pauvre, Cela implique au même
moment la faiblesse de la femme face à l’argent, quant aux enfants c’est
l’heure de la rébellion surtout quand les moyens financiers font défaut.
Les
enfants du pauvres sont comme les poussins qui doivent eux même gratter la
terre pour manger, ils sont abandonnés à leurs triste sort, et pour les filles
pourvu qu’on la présente un offre en échange du sexe, elle n’aura pas de choix,
c’est comme ça qu’on a des filles de 14 ans mariées à des papas de plus de 50
ans.
Pour un
petit rien la fille cours tous les risques des infections sexuellement
transmissibles IST et sans parler du VIH/SIDA, quand le social est faible, le
niveau de la vie, et de la moralité reste également faible.
3. Causes Culturelles : Elles jouent un rôle très important
dans la vie d’un homme pour former sa personnalité, pour nous qui sommes
Africains, notre culture était en parti bonne, raison pour laquelle, à l’époque
de nos ancêtres on ne parlait pas de l’IVG même pas d’une fille grosse si non
un rare cas, nos ancêtres faisaient mariés leurs fils et filles, celles parmi
les filles qui se méconduisaient s’en prenaient à elles même.
La télévision en R D Congo balance des images des jeunes
filles qu’on fait danser à demi-nues, ce qui influence les jeunes et les
entrainent à s’accoutrer pareillement.
Les salles cinématiques s’affolent a des films
pornographiques, aujourd’hui les filles et les garçons peuvent en avoir dans
leurs portables, à l’école, à l’université, etc…cela pousse l’enfant a des
pensées vers ce qui répond a ses sentiments.
N’est-ce pas qu’il soit nécessaire de conserver nos cultures
à nous qui sommes Africains ?
4.Causes Intellectuelles : comme on dit souvent chaque chose à
ses avantages pour ainsi dire que l’intellectualisme nous a amené beaucoup de
positif mais aussi quelques négatifs pour ceux qui utilisent mal le savoir.
Exemple
l’abstinence sexuelle de nos ancêtres était dit à l’ignorance qu’ils avaient de
la biologie et de la reproduction, disons pour les unes l’ignorance de leurs
cycles menstruelle, et pour les autres garçons, ils croyaient que dès qu’on ait
en rapport sexuelle avec une fille elle tombe en ceinte le même jour, cela
étant l’abstinence sexuelle était obligatoire pour se protéger des risques.
Mais
aujourd’hui que la fille connait et sait qu’elle est en bonne période ou en
mauvaise période ou période de fécondité.
Et non
seulement ça, en cas de grossesse, elle connait qu’il lui faut prendre telle ou
telle autre solution pour une interruption volontaire de la grossesse, tout sa
sont des méfaits de la connaissance.
De la
grossesse. Tout cela est les méfaits de la connaissance.
LES CONSÉQUENCES DE L’IVG CHEZ LA VICTIME.
2.4.0. INTRODUCTION : Souvent, l’avortement causé ou
provoqué clandestinement aboutit à des hémorragies et des infections parfois très
dangereuses, un avortement fébrile est toujours suspect d’être un avortement
provoque dans des conditions techniques peu satisfaisantes : la fièvre
traduit l’infection ; d’autre part, il y a 20 des risques d’intoxication,
de traumatisme et d’embolie..
2.4.1. CONSÉQUENCES PHYSIQUE : ‘1’ Rotsart les conséquences sont
nombreuses mais nous nous limitons à ne citer que quatorze 14.
1. Brûlure des muqueuses vagino-uterines.
2. Col faible : affaiblit par la toxine du médicament
abortif.
3. Stérilité aiguës ; métrorragie.
4. Relation coupée avec les membres de la famille, la fille
vit la solitude.
5. Relation coupée avec son amant irresponsable qui peu fuir.
6. L’anémie du a l’hémorragie.
7. La dénitratation.
8. La peur, l’angoisse, la tristesse disons un sentiment de
culpabilité.
9. La poursuite judiciaire.
10. l’emprisonnement.
11. La paie des amandes transactionnelles.
12. La perforation de l’utérus.
13. L’endométrite, l’annexite par lésions tubaires.
14. la pelvipéritonite, abusée du douglas.
2.4.2 LES
COMPLICATIONS GRAVES : Moins fréquentes 2ù de cas mais de pronostic sérieux :
1. une perforation utérine, avec péritoine aiguë.
2. Lésion cervicale par déchirures au produit caustiques.
3. complication infectieuses graves.
4. Mérite, avec abcédassions de l’utérus.
5. péritonite par extension.
2.4.3.LES
COMPLICATIONS TRÈS GRAVES : Ici nous avons épinglés huit point »8 »qui
sont :
1.
Hémorragie
par afibrinogénémie souvent due à une fibrinolyse, le sang devient incoagulable
et les hémorragies emportent la femme.
2.
Septicémie
à microbes gram-négatif »colibacilles, bacilles, perfringens… »les
toxines microbiennes envahissent tout le corps, hémolysent le sang<anémie,
ictère, hémoglobinurie>bloque les reins anurie et conduit au choc
circulatoire mortel dans de nombreux cas.
3.
Infarctus
utérin après injection d’eau savonneuse souvent associé à la septicémie est mortel,
une embolie.
4.
Accident
neurologique après l’insufflation d’air ou de liquide dans l’utérus, il se
produit une embolie.
5.
Mort
subite.
6.
Coma,
hémiplégie, convulsion parfois mortelles.
7.
Tétanos,
généralisé ou splanchnique avec dysphagie, dyspnée, et cyanose.
8.
Intoxication ;
variable d’après le produit toxique utilise, atteinte à prédominance rénale
avec anurie ou hépatique, avec ictère.
2.4.4. LES SÉQUELLES.
Elles sont fréquentes même après un
avortement provoqué le plus réussie voici les quelques-uns que nous avons
cités :
1. les salpingites chroniques, avec stérilité
tubaire.
2. Trouble de la grossesse :
avortement spontanés à répétition, accouchement prématurés, grossesses extra-utérines.
3. Troubles obstétricaux : mauvaise
insertion du placenta, dystocie cervicale, défaut de la dilatation par fibrose cicatricielle,
anomalies de la délivrance.
2.4.5.
LE COMMENCEMENT DE LA VIE ; L’EMBRYON EST IL UN ETRE HUMAIN ?
Toute
vie commence le jour, l’heure, la minute, et la seconde même de sa création par
Dieu, ainsi pour répondre à cette question , nous commençons par lire ‘2’
David-Fu-chi Mark que cite les témoins de Jéhovah :<<Chaque humain
est un être totalement distinct dès le début
de sa vie, c’est-à-dire qu’à la fécondation>>.
Nous
disons que toutes les parties de l’embryon commencent à se développer à la
conception, lorsque l’ovule est fécondé par un spermatozoïde.
Les
techniques de pointe on permit d’observer les changements extraordinaires qui
ont lieu dans le noyau de cette cellule uniquement fécondé, les molécules
constituant l’ADN « acide désoxyribonucléique » du père et de la mère
fusionnent pour créer une vie humaine qui n’existait pas jusque-là, cette
cellule unique de départ lance le processus miraculeux de construction d’un être
humain pleinement formé.
Cette
construction est définie par les gènes des segments d’ADN. Les gènes
commandants presque tout ce que nous sommes : taille, traits de visage,
couleur des yeux, des cheveux, et d’autres caractéristiques.
A
compter dès la conception, l’enfant est, non un simple amas cellulaire de plus
dans le ventre maternel, mais un être humain à part entier, l’organisme de la
mère le considère comme un corps étrangère, qu’il aurait tôt fait de rejeter
sans l’environnement protéger qui se crée dans l’utérus. Cette nouvelle vie humaine,
séparer de la mère par une enveloppe protectrice est une personne dotée d’une
empreinte génétique qui lui est propre.
COMMENT LA BIBLE EXPLIQUE T’ELLE CE
SUJET ?
Commençons
par lire Psaumes 139 :1 de David :<<C’est
toi qui as formé mes reins, qui m’as tissé dans le sein de ma mère…tes yeux me
voyaient et sur ton livre étaient tous écrit les jours qui m’étaient destinés>>.
Ce qui
implique que Dieu avait connu David avant son existence, et quand il n’était
qu’un ovule fécondé sans forme, Dieu l’appelait de son nom « David ».
Second
exemple dans Job 3 :3, quand nous lisons, nous remarquons que le petit job
est un homme avec toutes les facultés comme il le déclare, et quand il parle
s’il était mort au sortie du sein maternel, il serait en repos, il considère la
mortalité gygotique, la mortalité fœtale, comme la mort des grands qui se
battirent des mausolées.
Pour Jérémie
1 :5 <<Avant que je t’eusse formé…je t’avais établi prophète>>
Ce
passage semble confirmé l’existentialisme avant la matérialisation de l’homme Jérémie ;il
y avait un métaphysique, le vrai homme qui est dans tout homme comme dans le
cas un embryon dans le sein maternel est
un être en totalité.
…………………………………………………………………………………………………………
6. Rotsart de Hertaing et J, Courte
joie, maternité et santé ;
éd bureau d’études et de recherche 1977 pg172 à 173.
7. Réveillez-vous : l’avortement les questions qu’il
soulève, pg3-4, juin 2009
8. De David : Psaumes, Bible
Louis second, pg du chap. 139 :1.
9. Job : ibid, pg du chap.
3 :3-16.
10. Jérémie, ibidem, pg du chap.
1 :5.
CHAP 3 L’IVG
QUESTION ETHIQUE ET POINT DE VUE RELIGIEUX.
CHAP 3.1.LES
PRO-CHOIT ET LES PRO-VIE.
L’interruption volontaire de grossesse « IVG »,
chez l’être humain au-delà d’un phénomène physiologique concernant la femme en
ceinte est un phénomène social.
La conquête du droit à l’IVG constitue une part importante du
mouvement féministe pour la <<libre disposition de son corps>> par
la femme, contre l’indisponibilité du corps humain et le droit de naître de l’embryon.
Dans les pays ou l’interruption volontaire n’est pas légalisée,
des mobilisations ont lieu pour l’obtention de ce droit.
Dans les pays ou l’interruption volontaire de grossesse est légalisée,
et plus particulièrement aux Etats-Unis, en Italie et en Espagne, le droit à
l’interruption volontaire de grossesse est parfois contesté par certains
mouvements dit :<<pro-vie>>, qui sont généralement
d’inspiration religieuses et conservatrice.
A Contrario, il est défendu par de nombreux mouvement
pro-choix, et notamment Barack Obama qui rappelle que :<<cette décision
non seulement protège la santé des femmes et la liberté de reproduction, mais
symbolise un principe large que le gouvernement n’a pas à se mêlé des affaires
de famille les plus intimes>>.
Les partisans du droit à l’avortement considèrent souvent que
sa condamnation légale est immorale dans la mesure où elle conduit à des
avortements clandestins, cause des fortes souffrances humaines, psychologiques
et biologiques.
« 1»Etre favorable à la légalisation de l’IVG, c’est
tout simplement, être sensible à un problème de santé publique et dont
économique : car une femme qui veut avorter le fera dans n’importe quelle
condition, quitte a mettre sa santé en danger et quoi que dise la loi.
Ainsi, dans les pays ou l’IVG est pénalisé, les femmes
avortent autant que dans les pays où elle est légale. Interdire l’IVG n’a
jamais baisser le taux d’avortement, en revanche autorisé l’IVG fait augmenté
de manière dramatique le taux de mortalité est de 330 en moyenne, pour 100.000
avortements ou l’IVG est légale, en revanche le taux de mortalité oscille entre
0,2 et 1,2 pour 100.000 avortements.
Ce que chacun pense du statut de l’embryon, du commencement
de la vie humaine ou de l’existence de l’âme ne devrait même pas faire l’objet
d’un débat et ne devrait relever que des convictions intimes n’ayant
strictement rien à voir la législation.
Cependant, pour les adversaires de l’avortement qui veulent
revenir sur les lois actuelles concernant l’avortement, ou supprimer, que ce
soit en se fondant sur une approche religieuse ou non, il s’agit avant tout
d’un problème éthique concernant la défense de la dignité de la personne dès
l’instant de la conception, cela soulève d’important débats philosophiques
concernant le statut de la personne humaine et le moment où il est question
d’un tel statut.
En effet, pour le droit Français et Canadien, seul l’enfant
né a le statut juridique d’une personne.
Cependant certaines positions philosophiques, métaphysiques,
ou théologiques font remontées l’existence d’un être bien en deçà de sa
naissance.
Dans leurs discours contemporain, ces courants soulignent
souvent le fait que dès sa conception, l’embryon possède l’ensemble du matériel
génétique de la personne adulte.
L’IVG est l’objet de débat dans la plus part des sociétés
modernes, il était traditionnellement interdit pour différents motifs.
-De maintien des rites familiaux : Dans nombreuses
sociétés, les enfants s’occupe de l’esprit de leurs ancêtres après leurs morts,
notamment dans la tradition Chinoise ou l’avortement n’a jamais été illégale ni
interdit mais était une décision familiale ou sociale a la quelle à laquelle la
femme ne participait pas mais qu’elle subissait uniquement.
-Démographiques : le gouvernement pensant que
l’autorisation de l’avortement fait baisser le nombre des naissances, et
l’importance de la population étant une mesure de la puissance.
-Religieux : La plupart des grands courants religieux
interdisent l’avortement car ils le considèrent comme une atteinte à la vie
humaine, il existe cependant des confessions et des associations qui ont une
vue discordante.
-L’inégalité entre les sexes : L’homme ayant la primauté
dans la décision d’avoir ou non un enfant, la femme se voyait refuser le droit
de prendre la décision d’avorter.
Les modifications sociales, l’affaiblissement de l’influence
religieuse et de la sacralisation du processus procréatif, important
décroissant du nombre par rapport au bien être des populations pour les Etats, progrès
médicaux, rapports sexuels chez les jeunes relativement plus précoce dans les
pays occidentaux et plus tardifs dans les autres, mauvaise information sur les moyens
de contraception, affaiblissement du poids des traditions et égalité des droits
entre l’homme et la femme, ont progressivement atténue l’interdit, puis permis
une légalisation plus large.
La difficulté du législateur sera de trancher parmi toutes
les positions pour fixer un délai légal d’IVG, délai qui fait nécessairement
des mécontents de part et d’autre.
Les uns et les autres pouvant se réclamer de valeurs peu négociables « la
dignité de la vie d’un côté et la liberté de l’autre » cela explique que
l’avortement soit depuis quelques décennies un sujet de controverse inépuisable.
En outre, la solution d’éthique ne peut pas faire l’économie
d’une réflexion sur le drame que peut représenter le choix dans un sens ou dans
l’autre, compte tenu des pressions sociales intenses qui s’entrecroisent sur la
question d’un point de vue légal, le statut juridique de la personne est liée à
celui d’un développement suffisant de l’embryon « cette limite étant
variable », autorisant l’avortement en deçà, et en condamnant
éventuellement l’illégalité au-delà .
La plupart des pays du monde ayant des législations
différentes et variables avec le temps, aucune définition unanime de ce qui
peut être considérer comme un embryon ou personne a part entière n’a été
trouvée, la science ne pouvant à elle seule apporter une réponse.
CHAP 3.2 SERMENT
D’HIPPOCRATE.
Le texte original du serment d’Hippocrate, que l’on peut considérer
comme le texte fondateur de la déontologie médicale, contient la phrase
suivante :<< je ne remettrai à personne du poison, si on m’en
demande, ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion. De même, je ne remettrai
à aucune femme un pessaire abortif>>.
Cette phrase n’apparait pas dans la version moderne, telle
que celle de l’ordre français des médecins 1996.
De plus l’interprétation de cette phrase est
controversée : En effet Hippocrate ne parle pas d’avortement mais
uniquement des pessaires abortifs « sorte de supposition vaginal » on
peut donc supposer que c’est à cause de sa dangerosité pour la femme que cette méthode
d’avortement et elle seule est
proscrite.
POUR LES BOUDDHISTES.
Le bouddhisme fixe le début de la vie humaine, bhava, aux premiers
signes de consciences : capacité de ressentir le plaisir ou la douleur et
d’y réagir « 3 ».
C’est alors que l’être hérite du karma passe, concrètement
selon Ajahn brahme, on peut l’assimiler à l’apparition du système nerveux, à la
capacité de ressentir la souffrance et de manifester une volonté, un embryon
hors de la matrice maternelle par
exemple pour la recherche ou la fécondation
in vitro « n’est pas reconnu comme une vie humaine, et dont les considérations éthiques propres à l’être humain ne s’y
applique pas ».
Le bouddhisme interdit l’avortement lorsqu’il supprime une
vie, le premier précepte de l’éthique bouddhique étant : ne pas tuer, « l’acte de
tuer étant constitué de lorsqu’il y a intention de tuer, effort de tuer, et
mort de la victime ».
Selon le code monastique du bouddhisme theravada, le vinaya, un moine qui recommande ou facilite un
avortement commet une faute grave « parajika » et en cours une
exclusion immédiate du sangha.
Dans le bouddhisme tibétain, le délai lama reconnais qu’il
existe des situations justifiants l’avortement « interruption médicale des
grossesses ».
La définition précise des situations concernées est généralement
reconnue comme un problème social dépassant le cadre de la philosophie
bouddhiste.
D’un point de vue moral, seule la compassion, la karuna, peut
justifier une telle action.
POUR LES CHRÉTIENS.
La très grande majorité des églises chrétiennes s’opposent à
l’avortement. Ainsi, l’Eglise catholique réaffirme dans l’encyclique Evangelium
vitae sa condamnation de l’avortement direct.
Pour le pape Jean Paul II :<<Celui qui est
supprimé est un être humain qui commence à vivre c’est-à-dire l’être qui est
dans l’absolu, le plus innocent qu’on puisse imaginer : jamais il ne pourrait
être considéré comme un agresseur, encore moins un agresseur injuste, il est
faible, sans défense, au point d’être privé même du plus infime moyen de
défense, celui de la force implorante des gémissements et des pleurs du
nouveau-né.
Dans les textes magistériels et catéchisme de l’église
catholique, l’avortement direct est considéré,
s’il est effectué en pleine connaissance et entier consentement comme un péché extrêmement
grave, il entre dans la catégorie des « péchés mortel », c.à.d.
qui détruise la charité dans le cœur de l’homme. « 4 »
Selon le droit canon, il entraîne une excommunication latae sententiae automatique sans prononcer de la
peine dès lors que la personne qui le réalise est âgée de plus de 16 ans et a
une pleine conscience de son acte. Il concerne la femme qui pratique et les médecins
ou paramédicaux qui participent à la procédure. En revanche, l’avortement indirect,
ou la mort fétus n’est pas voulu mais est la conséquence des soins prodigués à
la mère, ne sera pas condamné.
Il existe cependant des groupes qui, tout en se déclarant du
catholicisme, conteste l’enseignement du magistère sur l’avortement « et
d’autres points « ».
La position de l’église orthodoxe rejoint sur le plan de la
morale celle du catholicisme mais en accord avec le principe dit :
d’ « économie » soumission de la loi générale à chaque personne
en prenant en compte son existence et ses limites qui lui est propre, elle peut
autorisé une personne à pratiquer l’IVG si l’évêque et le prêtre discerne l’avènement
d’une détérioration psychologique ou spirituelle dans le cas contraire, les églises
protestantes historiques « presbytérienne, épiscopalienne, méthodiste… »
Adoptent des positions variées tandis que les témoins de Jéhovah interdisent
fermement l’avortement.
POUR MUSULMANS.
L’islam de manière générale prohibe l’avortement au nom du
respect de la vie humaine cfr le verset suivant du Coran :<<et ne
tuez pas vos enfants par crainte de pauvreté, c’est nous qui attribuons leurs
subsistances, tout comme à vous, les tuer, c’est vraiment un énorme
péché>> 5
Ce passage est utilisé par les exégètes pour soutenir
l’interdiction de l’avortement de manière générale.
Cet interdit est plus au moins strict suivant les circonstances
et l’état du développement du fœtus. En sunnisme, l’interdiction dans la plus
part des cas est de rigueur après 40 jours de grossesse c.à.d. lorsque le fœtus
est entièrement formé et qu’une âme lui avait été insufflée. Hormis pour
l’école malékite, l’avortement ne peut être admis après 40 jours quel qu’en
soit la raison.
En chiisme l’avortement est interdit à part des circonstances
très strictes, une fatwa sur le site de la fondation international de l’Imam
Shirazi affirme que l’avortement est aram : « l’avortement est
haram, et ce, dès le commencement de la conception, tant qu’il existe un
potentiel pour avoir un être humain, alors l’avortement est haram, qu’il
s’agisse d’une semaine ou d’un jour de vie ».
La vie embryonnaire ne doit pas être détruite quel que soit
l’étape de développement.
Circonstances exceptionnelles : si la poursuite de la
grossesse constitue une menace pour la mère, alors l’avortement est autorisé.
Dans le cas où le fœtus est extrêmement déformé de telle
sorte qu’il rendrait ses soins exceptionnellement difficiles pour les parents,
quelques fuqahas ont décrété la licéité de l’avortement dans des circonstances
aussi extrêmes.
POUR LE JUDAÏSME.
Il est dans la torah :<< il n’y aura dans ton pays
ni femme qui avorte, ni femme stérile, je remplirai le nombre de tes
jours>> EXODE 23 :26. Ce
pendant certains de ses dispositions concerne la vie fœtale directement ou non.
La disposition la plus sévère est liée à l’interdiction de tuer. Cette
interdiction est directe dans le cas où la halakhah considère que le fœtus est
un être vivant, mais les sources talmudiques ne sont pas invoqués ni même
claire à ce sujet, par exemple, rachi semble indiquer qu’un fœtus ne pas nécessairement
un être humain.
Pour ce qui est des autres dispositions, le respect généralement
du a la vie humaine manifeste dans l’interdiction de blesser ou détruire la
semence humaine conduit également à argumenter contre l’avortement.
De ce fait, cet acte est généralement considéré comme
contraire à la loi, et reprouve en conséquence, cependant, le talmud ne considère
qu’un fœtus ne soit formé qu’après quarante et un jours, un avortement avant ce
délai est donc considéré moins sévère.
La loi juive autorise l’avortement si le fœtus constitue une
menace directe pour l’intégrité de la femme en ceinte. Les limites de cette
menace sont cependant discutées. La Moshna dit explicitement que le fœtus doit être
sacrifié pour sauver la mère, parce que la vie de la mère a priorité sur celle
de l’enfant qui n’est pas né. Par suite,
la plupart des autorités rabbiniques autorisent l’avortement en cas de menaces
vitale pour la femme, mais d’autres étendent cet avis au cas du risque
d’aggravation d’une maladie physique ou psychique de la
mère. « 7 ».
Dans leur immense majorité « exception du rabbin ELIEZER
Waldenberg » les autorités juives ne reconnaisse pas les infirmités du
fœtus comme une indication de l’interruption de la grossesse.
Le rabbin Posseq Moshe feinstein interdisait ainsi les
diagnostics prénataux qui entrainent les parents à demander une action
abortive, il allait même plus loin en écrivant :<<ces dernières
années on a observé un nombre croissant d’avortements réalisés, il est
interdits aux médecins qui respect la torah de participer à un avortement de
quelque manière que ce soit que la patiente soit juive ou non. La prohibition
de l’avortement est une prohibition universelle et elle s’applique aussi bien
aux juifs que aux non juifs>> « 8 ».
Néanmoins, le rabbin et posseq Shaul Israel autorise dans
certaines circonstances, l’avortement en cas de maladie du fœtus, et ajoute
même que cela ressort de la Mitzvah d’aimer son prochain.
…………………………………………………………………………………………………………………….....
1. Guy
de Maupassant : L’enfant est une nouvelle de Guy, publiée en 1883
traite de l’avortement à la fin du 19eme siècle
2. Lydie
Bodiou<<le serment d’Hippocrate et les femmes grecques>>Clio,
vol 21,2005,pg231-238.
4. Encyclique Evangelium-vitae
5.
Coran, 17:31
6.
Cheikh qaradawi fatawa mou asirah-volume 2 pg 547.
7.
Teaching of Islam: question what the Islamic decree on abortion and euthanason
is.
8.
Georges Hansel: exploration talmudiques, édition Odile Jacob.1996.
CHAP4.LA NOTION DE LA VIE DANS LA THÉOLOGIE SPIRITUELLE AFRICAINE.
4.0. DÉFINITION DES CONCEPTS :
La vie sous-entend ici « un être humain soit à l’état
embryonnaire, soit à l’état de maturité ».
Pour votre gouverne, Dieu symbolise la vie, disons que la vie
est égale Dieu et interrompre la vie sur terre implique l’opposition à Dieu,
lui étant la vie et maître de la vie, il la donne à qui il veut la donner et le
retirer à qui il veut la retirer, le seul qui a le droit de disposer de la vie
c’est Dieu.
Par ailleurs, la théologie est l’ensemble des discours qui
parle de la connaissance de Dieu, en cela nous disons que la théologie est une forêt
dense que personne ne peut explorer avec succès dans quelques heures.
Notre chapitre étant aussi large, nous nous proposons de l’axer
sur la notion de la vie dans la théologie spirituelle Africaine.
4.1. LA NOTION DE LA
VIE DANS LA THÉOLOGIE SPIRITUELLE AFRICAINE.
La vie parait être l’axe crucial qui motive toutes les expériences
religieuses Africaines. Elle ne suit pas la ligne droite, mais plutôt la forme
de circonférence, c’est-à-dire que de la vie à la mort, il n y a pas
d’interruption mais plutôt la continuation.
Mulago M nous montre
que :<<la vie est sacrée pour l’homme religieux Africain…interrompre
une vie signifie désacraliser le sacré>>. « 1 ».
Partant de la vie, on ne laisse de côté aucun élément qui
tisse son existence, au contraire elle est comme la synthèse de toutes les
structures de l’âme d’un individu, d’une communauté, d’un peuple.
Elle intègre en elle, ses aspirations congénitales, ses
besoins fondamentaux, ses relations sociales, communautaires vitales.
C’est pourquoi la vie constitue un mystère et place l’homme
déjà sur la route d’une certaine spiritualité.
Dans les religions traditionnelles Africaines, les plénitudes
de vie consiste à sa plus ou moins grande ressemblance avec la vie de Dieu,
cette ressemblance vitale est la base de la vie.
P. Kiazayila :<< La vie que Dieu offre à l’homme
est un don par le quel celui-ci participe comme créature a la vie de Dieu. Les
humains ont reçu une mission de prolonger la vie sur la terre et non de
l’interrompre>> « 2 ».
D’ores et déjà, Dieu est la source de toute vie, la grossesse
marque le début de toute une vie et ouvre le chemin de la louange et
d’adoration de Dieu. La naissance et la croissance d’un être humain conduisent
à la connaissance de la grandeur de Dieu sur terre.
La spiritualité Africaine ne permet à personne de disposer de
sa propre vie ou de la vie de l’autre. Ainsi, l’interruption volontaire de la
grossesse n’est pas autoriser par Dieu dans la pensée de la théologie
Africaine.
4.2. LES QUESTIONS
D’ETHIQUE BIBLIQUE SUR L’IVG.
Il est évident que la valeur donnée par l’écriture à la vie,
c’est un legs que Dieu nous fait, s’opposer radicalement à l’avortement sur
demande comme moyen de régulation de naissance, à l’avortement de convenance, à
l’avortement thérapeutique, etc…
Il subsiste toujours quelques questions que cette vision Judéo-chrétienne ne résout
pas de soi. D’autres prémisses sont nécessaires si l’on veut ne serait-ce que
quelques éléments de réponse par exemple aux problèmes soulevés par une
grossesse au cours de laquelle la vie de la mère est menacée, à ceux d’une
victime d’un viol ou d’un inceste, à la question de la possibilité d’un
avortement thérapeutique.
…………………………………………………………………………………………………………
« 1 » Mulago-M, la
religion traditionnelle des bantous et leur vision du monde, F.T.C, Kinshasa
134
« 2 » Kiazayila. k ;
Groupe de prière, spiritualité chrétienne en Afrique, Baobab kin, 1996, pg11
La bible n’offre pas des directives claires et précises sur ces
questions si hautes citées, et sur d’autres questions éthiques non cité ;
en effet l’éthique chrétienne se base sur la bible et le droit naturel.
Nous allons interroger l’écriture et le droit naturel pour répondre
aux questions éthiques sur l’avortement Selon St Jean
Chrysostome :<<Toute chose est une expression qui inclut même le
fait le plus douloureux…>> va alors sans dire que même le fœtus présentant
des mal formations révèle la gloire de Dieu et est un fait qui concourt au bien
de ceux qui aiment Dieu.
4.3. LES QUELQUES THÈSES SUR LA DÉFENSE DE TOUCHER A LA VIE.
I corinthiens 3 :16-17 <<Ne savez-vous pas que
vous êtes le temple de Dieu et que l’l’Esprit de Dieu habite en vous ? Si
quelqu’un détruit le temple de Dieu, Dieu le détruira, car le temple de Dieu
est saint c’est ce que vous êtes>>.
Les médecins conviendraient avec nous que presque tout
avortement à des conséquences néfastes sur la santé de la mère comme citer au chap.
2 de notre travail. Détruire le fœtus, reviens à détruire le temple de Dieu,
car le fœtus possède aussi la vie qui vient de Dieu. Faire avorter une femme
c’est détruire son corps qui est le temple de Dieu… conséquence :<<Dieu
détruira ceux qui détruisent son temple>>.
Au 4eme siècle St Augustin comprend
l’Imago DEI comme justicia relationis, l’homme dans sa totalité est en présence
de Dieu. Genèse 9 :6 si l’homme est un être intelligible et en bonne
relation avec Dieu, il ne doit pas verser le sang des autres, même pas le sang
fœtal de peur de voir son propre sang versé un jour, autrement nous interprétons
ce passage comme suite « Dieu répond à la violence par la
violence ».
H.von oyeRad ; G Von Rad, E.Jacob, M. Buber :<<L’homme
est imago Dei en ce sens il est procréateur et non interrupteur volontaire de
grossesse>> « 3 ».
-Parce que l’homme est l’image de Dieu sa vie est différente
de la vie de tous les animaux, la vie même du fœtus vient de Dieu et est
intouchable et sacrée Actes 17 :28-29.
…………………………………………………………………………………………………………
« 3 » Martin
Uber ;ich und ou, moi et toi,…..1925
-Entant qu’image de Dieu, l’homme, même à l’état fœtal doit
être protégé quand il est menacé par les limites de la vie :<<Car
c’est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l’être…>> Actes
17 :28.
VOICI QUELQUES THÈSES SUR L’IVG.
THÈSE 1. Isaïe 45 :15 YHWH est le Dieu
qui se cache, la transcendance de Dieu et aussi le Dieu qui se révèle-e le Dieu
de l’immense dans la pénétration des hommes.
YHWH est au-dessus de « tout »,tous les hommes sont
égaux et aucun homme ne peut prétendre interrompre la vie de l’autre, même pas
la vie fœtale car l’égalité des hommes se situe au niveau de la
vie :<<Pour votre gouverne nous sommes tous des ovules fécondées>>
un être a la maturité qui détruit la vie fœtal, opère une violence caractérielle
contre un être sans défense, ainsi il est écrit :<<Celui qui verse
le sang ,verra aussi son sang versé>> Genèse 9 :6 déclare ce qui
suit :<< qui verse le sang de l’homme , par l’homme son sang serra
versé ;car l’homme est imago Dei soit fait à l’image de Dieu>>.
N.B :<< Tous les hommes sont égaux à l’égard du
péché et a l’égard de la grâce…>> disait Martin BUBER « 4 ».
THÈSE 2. L’éthique vétérotestamentaire se
base essentiellement sur la notion de « Imago Dei », la conception de
l’homme comme image de Dieu Genèse
1 : 26-27 Dieu dit : faisons l’homme à notre image, selon notre
ressemblance… Dieu créa l’homme à son image. ».
Genèse 5 :1-3 = Siracide 17 :1-3, sagesse
2 :23 or Dieu créa l’homme pour qu’il soit incorruptible et il l’a fait
image de ce qu’il possède en propre.
THÈSE 3. <<L’homme est imago Dei>>, quid ?
1.
Du
1er au IIIème siècle, l’imago Dei veut dire la similitude
de l’homme à Dieu, car l’homme est intelligible et possède la raison.
2.
Au
IVème siècle, St Augustin comprend l’imago Dei comme justicia reletionis ;
i-e l’homme dans sa totalité est en présence de Dieu et est en bonne relation
avec Dieu. Genèse 9 :6 si l’homme est un être intelligible et en bonne
relation avec Dieu, il ne doit pas verser le sang des autres, même pas le sang
fœtal de peur de voir son propre sang versé un jour. Selon Genèse 9 :6
Dieu répond à la violence par la violence.
3.
Selon
H.Von Oyen,G Von Rad, E Jacob, M.Buber : l’homme est imago Dei en ce sens qu’il
est procréateur et non interrupteur volontaire de grossesse.
4.
Parce
que l’homme est l’imago dei, sa vie est différente de la vie de tous les
animaux. La vie même fœtale, vient de Dieu et est intouchable et sacrée. Actes
17 :28
5.
En tant qu’image de Dieu, l’homme, même à l’état
fœtal, doit être protégé quand il est menacé par les limites de la vie Actes 17 :28 <<car c’est en lui
que nous avons la vie, le mouvement et l’être,…>>
THÈSE 4.L’INTERRUPTION
DE LA GROSSESSE CAUSÉE PAR LA MALFORMATION DU FŒTUS CONSTATÉE.
Cette thèse s’oppose à la logique Johannique qui voit dans le
handicape des hommes une certaine manifestation de la gloire de Dieu. Jean
9 :1-7 la guérison d’un aveugle né manifeste la gloire de Dieu, si la
grossesse de cet aveugle était interrompue, la gloire de Dieu ne se serait pas
manifestée.
La logique Paulinienne par ailleurs veut que toutes choses
concourent au bien de ceux qui aiment
Dieu. Romains 8 :28 selon St Jean Chrysostome, « toutes
choses » est une expression qui inclut même les faits les plus douloureux…
Il va même à dire que même le fœtus présentant la
malformation, révèle la gloire de Dieu et est un fait qui concoure au bien de
ceux qui aime Dieu.
THÈSE 5. I Corinthiens 3 :16-17 Ne savez-vous
pas que vous êtes le temple de Dieu et que l’Esprit de Dieu habite en
vous ? Si quelqu’un détruit le temple de Dieu, Dieu le détruira, car le
temple de Dieu est saint et c’est ce que vous êtes.
Les médecins conviendraient avec nous que presque tout
avortement a des conséquences néfastes sur la santé de la mère.
Détruire le fœtus, revient à détruire le temple de Dieu, car
le fœtus possède aussi la vie qui vient de Dieu. Faire avorté une femme, c’est détruire
son corps qui est le temple de Dieu… et Dieu demandera le sang humain que vous
avez versé, conséquence Dieu détruira
ceux qui détruisent son temple.
Enfin ; la vie fœtale n’est pas différente de la vie
d’un être à la maturité, le sang fœtal n’est pas diffèrent du sang d’un être
majeur.
Jean Calvin dit :<< Il suffit qu’il soit homme
pour que je le considère comme mon prochain>> et moi de dire :<<il
suffit qu’il soit fœtus pour que je le considère comme mon prochain>>.
BURBER, M, ich und …………1925
CONCLUSION.
Pour clore nous disons que: La vie fœtale n’est pas différente
de la vie d’un être majeur.
Jean Calvin dit :<<suffit qu’il soit homme pour
que je le considère mon prochain>> et moi d’ajouter :<< il
suffit qu’il soit homme que je l’appel mon ami>>.
Vu la valeur biologique que représente une ovule fécondé, vu
la valeur vitale d’un fœtus, nous sommes tous appelés à protéger la vie, chères
filles ,chers garçons, chers parents, chers amis et surtout les
professionnelles de la santé et Dieu a son tour nous protégera .
Car dit-il dans sa parole :<< ne fait pas à autrui
ce que tu ne voudras pas que l’on te fasse>>. EXODE 20 :13-17.
TABLE
DES MATIÈRES
1. DÉDICACE ………………………………………………………………………………...P 1
2. AVANT PROPOS …………………………………………………………………………..P 2
3. INTRODUCTION ………………………………………………………………………….P 2
4. CHAP 1. GÉNÉRALITÉ SUR LA VILLE DE BANDUNDU …………………................P 5
- INTRODUCTION
………………………………………………………………….................P 5
- SITUATION HISTORIQUE
…………………………………………………….....................P 5
- SITUATION GÉOGRAPHIQUE
……………………………………………………..............P 7
- SITUATION ECONOMIQUE
………………………………...................................................P 8
- SITUATION SOCIALE
…………………………………………………………………….....P 9
5. CHAP 2. LES VULNÉRABLES DE L’IVG, LES CAUSES ET LES CONSÉQUENCES P 10
-INTRODUCTION
…………………………………………………………………………... .P 10
- LES VULNÉRABLES DE L’IVG
…………………………………………………………...P 10
- LES CAUSES DE L’IVG
…………………………………………………….........................P 11
- LES CONSÉQUENCES DE L’IVG, CHEZ LA VICTIME
….................................................P 13
- COMMENT LA BIBLE EXPLIQUE T’ELLE CE
SUJET ? …………………………………P 15
6. CHAP 3. L’IVG QUESTION ETHIQUE ET POINT DE VUE RELIGIEUX ………….P 17
- LES PRO-CHOIT ET LES PRO-VIE
……………………………………...............................P 17
- SERMENT D’HIPPOCRATE
……………………………………….......................................P 20
- POUR LES BOUDDHISTES
…………………………………………………………............P 20
- POUR LES CHRÉTIENS
…………………………………………………………………… P 21
- POUR LES MUSULMANS
…………………………………………………………………...P 22
- POUR LE JOUDAISME ………………………………………………………………………P
23
7. CHAP 4. LA NOTION DE LA VIE DANS LA THÉOLOGIE SPIRITUELLE AFRICAINE P 25
-DÉFINITION DES CONCEPTS
……………………………………………………………….P 25
-NOTION DE LA VIE DANS LA THÉOLOGIE
SPIRITUELLE AFRICAINE ………………P 25
- LES QUESTIONS D’ETHIQUE BIBLIQUE SUR L’IVG
……………………………….........P 26
-LES QUELQUES THÈSES SUR LA DÉFENSE DE TOUCHER
A LA VIE …………………P 27
-VOICI QUELQUES THÈSES SUR L’IVG
………………………………………….................P 28
8. CONCLUSION ………………………………………………………………………………..P 31
9. TABLE DES MATIÈRES
……………………………………………………………………....P 32
10.NOTES BIBLIOGRAPHIQUES ………………………………………………………….......P 34
11.AUTRES DOCUMENTS
………………………………………………………………………P 35
NOTES
BIBLIOGRAPHIQUES
1.
Bols, Initiation à la sociologie africaine,
éd B.E.C Kinshasa 1970 P 86
2.
BUBER, M, ich Du 1925
3.
CHEIKH, qaradani, fatawa mou’asirah
volume 2 P 547
4.
GUY de Maupassant, l’enfant est une nouvelle de
Guy, publiée en 1883 sur l’avortement à la fin du 19eme siècle.
5.
HOFFMEIR, James K, l’avortement, enjeux
théologiques la clairière, Québec 1994
6.
KINGENGO, KIAZAYILA.P, groupe de prière,
spiritualité chrétienne en Afrique, Baobab, Kinshasa, 1996
7.
LYDIE Bodiou, le serment d’Hippocrate et les
femmes grecques, Clio, vol 21, 2005, p 231 à 238.
8.
MULAGO,M : la religion traditionnelle
des bantous et leurs visions du monde, F.T.C, Kinshasa 1980
9.
Rotsart de Hertaing, Maternité et santé,
éd bureau d’étude et des recherches sur la maternité et santé, 1977, p 159.
PERSONNES INTERVIEW
N°
|
NOMS DES PERSONNES
INTERVIEW
|
AGE
|
SEXE
|
QUALITÉ
|
LIEU
|
DATE
|
THÈME
|
01
|
BHI-MULUDI Esther
|
37 ans
|
F
|
Enseignante
|
BDD/ville
A domicile
|
20/02/2014
|
Quelles sont les
causes de l’IVG.
|
02
|
KAPAYA MUKUFU
Gaston
|
60 ans
|
M
|
Inspecteur Urbain
de l’économie
|
Bureau
|
11/03/2014
|
Production
économique et niveau de vie des habitants.
|
03
|
Kasinzi Jean
|
52 ans
|
M
|
Inspecteur social
et affaire humanitaire
|
Bureau
|
09/03/2014
|
La considération de
la vie dans nos cultures
|
04
|
MAPWANGA Pierre
|
61 ans Décédé
|
M
|
Député honoraire de
la 2 eme République
|
Kinshasa a domicile
|
2005
|
L’origine de peuple
Yansi
|
05
|
MOSENGO
|
50 ans
|
M
|
Secrétaire Mairie
de la ville de Bandundu
|
Bureau
|
12/03/2014
|
Statistique des
habitants de la ville de Bandundu
|
06
|
MPUNGWE DONATIEN
|
65 ans
|
M
|
Chef du bureau
quarantaine IPAPEL
|
Bureau
|
25/02/2014
|
L’abandon de nos
cultures est l’une des causes de l’IVG.
|
AUTRES DOCUMENTS.
1. Bible,
Louis second, éd revue avec références 1997
2. Réveillez-vous,
l’avortement, les questions qu’il soulève, juin 2009
3. Coran,
17 :31
4. Encyclique
Evangelium vitae
5.
When
does human life begen in this body, by Ajahn Brahn.
6.
Teaching
of Islamic decree on abortion euthanasia.
7.
Georges
Hansel, éd odile Jacob 1996.